Baume Touch-Me-Not pour le jardin et l'intérieur
Le genre Impatiens, qui peut être traduit par «intouchable» ou «sensible», est à la base de la famille balsamique et se compose d'un demi-mille espèces qui poussent sur toute la planète.
En raison de la prévalence et de la diversité des plantes, il est impossible d'indiquer l'endroit exact sur la carte, digne d'être qualifié de patrie plantes de baume... On les trouve dans le monde entier dans les régions tempérées et tropicales, mais il existe plusieurs principaux centres de concentration de l'espèce. Ce sont, tout d'abord, les pays d'Asie et d'Afrique, l'Amérique du Nord et l'Europe.
L'histoire de la découverte et de l'étude des baumes
L'espèce la plus connue de notre pays est le baume d'intérieur de Waller, qui pousse à l'état sauvage au large de la côte est de l'Afrique dans l'archipel de Zanzibar.
C'est ici que de nouvelles plantes pour les botanistes ont été découvertes en 1861. Plusieurs spécimens, nommés à l'origine d'après le souverain local, ont été expédiés en Europe par le naturaliste britannique John Kirk. Ici, l'attention du missionnaire anglais Horace Waller, qui a d'abord remarqué la plante inconnue, et sa découverte ont été appréciées. Et l'Africain touch-me-not a reçu le nom d'Impatiens walleriana en 1896.
L'usine est appréciée des habitants de nombreux pays. Aujourd'hui, le baume d'intérieur en floraison continue en Occident est souvent appelé Busy Lizzie, et en Russie, la culture s'appelle la lumière Vanka Wet. Un nom aussi inhabituel, voire familier, s'explique par la particularité de la plante, qui forme de petites gouttelettes de liquide sucré sur les feuilles, qui finissent par se transformer en boules de sucre dures.
Parmi baumes de jardin, sur la photo, Impatiens balsamina se démarque - un petit mais très attrayant originaire d'Asie du Sud, décorant des parterres de fleurs et des bordures dans de nombreuses régions de Russie.
Au 20e siècle, les producteurs ont pu se familiariser avec un vaste groupe d'hybrides de Nouvelle-Guinée. Maintenant, ces plantes exotiques sont disponibles pour les collectionneurs et les amateurs de cultures d'intérieur, et certaines variétés des latitudes moyennes se sont senties si à l'aise qu'elles sont devenues de véritables mauvaises herbes, déplaçant les espèces indigènes de leurs endroits habituels.
Cela s'applique pleinement au baume de l'Himalaya, qui, il y a cent ans, ne se trouvait que dans son pays d'origine.
À quoi ressemble le baume?
Parmi les plantes difficiles à atteindre, ou comme on les appelle en Russie, les balsamines sont des cultures sauvages, de jardin et domestiques. Les plantes annuelles dans la voie du milieu sont cultivées comme baumes de jardin, et les variétés d'intérieur sont des cultures dont la saison de croissance dure plusieurs années.
Grâce au travail de sélection actif engagé au milieu du siècle dernier et à la vulgarisation d'espèces sans prétention et volontiers fleuries, les baumes ont pris une place digne dans les collections des fleuristes.
Dans le même temps, ils sont si différents les uns des autres par la forme et la couleur des fleurs, des tailles et des habitats qu'il est même difficile de soupçonner des représentants de différentes espèces d'appartenir au même genre. Parmi les baumes sont:
- annuelles herbacées et vivaces qui ressemblent à de petits arbres ou à des arbustes nains;
- nains ne dépassant pas 20 cm et géants de 2 mètres de haut;
- résistant au gel et habitué à vivre uniquement dans des climats tropicaux chauds.
Par conséquent, la réponse à la question: "À quoi ressemblent les baumes?" ne peut pas être simple et monosyllabique.
Mais avec beaucoup de différences, les baumes de différentes parties du monde ont beaucoup en commun. Les plantes sont dites sensibles en raison de la particularité inhérente à de nombreuses espèces. Le moindre contact avec la juteuse boîte à fruits provoque sa divulgation instantanée et le contenu est dispersé avec une grande force sur une distance de plusieurs mètres.
Dans le monde végétal, les baumes sont considérés comme une sorte de champions en termes de variété de formes et de couleurs de corolles.
Les fleurs du baume d'intérieur et de ses homologues de jardin peuvent être simples et doubles, monochromes et bicolores, avec un centre contrastant brillant ou une dispersion de taches sur les pétales.
Le diamètre moyen des fleurs du baume d'intérieur est de 2 à 4 cm, mais il existe également des plantes qui ravissent les propriétaires avec des corolles plus grandes aux couleurs vives. Un trait caractéristique de la fleur de baumier est un mince éperon incurvé, mais la forme et la taille des pétales peuvent être différentes:
- Le baume de la chambre de Waller a des corolles aplaties et les pétales qui les composent sont presque les mêmes.
- Dans d'autres variétés, en raison des pétales asymétriques raccourcis, les fleurs ressemblent davantage à des violettes ou à des mufliers.
Cette diversité est associée à différents habitats végétaux et aux insectes impliqués dans la pollinisation.
Caractéristiques des plantes de baumier
La grande majorité des baumes d'intérieur et de jardin aiment l'ombre, il y a quelques exceptions à cette règle. Tout d'abord, ce sont des plantes de Nouvelle-Guinée et, par exemple, le baumier glandulifera à croissance sauvage. Mais l'humidité est vitale pour tous les sensitifs au toucher, mais les espèces qui aiment l'humidité doivent protéger les fleurs et les feuilles d'un excès d'eau.
Les feuilles lisses lancéolées des baumes ne diffèrent pas par la richesse des formes, mais peuvent avoir des couleurs monochromatiques et panachées. Fait intéressant, grâce à un revêtement spécial, la surface de la plaque à feuilles, les gouttes s'en échappent et la feuille reste sèche même sous de fortes pluies. Le dessous est protégé de l'humidité et de la pourriture par une masse de minuscules bulles d'air emprisonnées entre les villosités.
Les fleurs sont protégées de la rosée et de la pluie par les pédicelles qui s'allongent lorsque la corolle s'ouvre. En conséquence, la fleur du baume du jardin, comme sur la photo, se penche et les ruisseaux d'eau ne peuvent pas laver le pollen mûr.